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Jiu-Jitsu brésilien – Techniques de base et avancées Par Fabio Duca Gurgel do Amaral Le jiu-jitsu, qui signifie littéralement « l’art doux », est une forme populaire d’autodéfense qui ne repose pas nécessairement sur la force physique et sur la puissance. Fabio Gurgel, sept fois champion du monde, nous présente une série complète en deux volumes (Techniques de base et Techniques avancées) qui introduit la simplicité dans les mouvements complexes de cet art martial, lorsqu’il nous révèle étape par étape les secrets du Jiu-Jitsu. Ces livres sont pleinement illustrés et simplifient les expressions techniques de la forme artistique, de façon à permettre à chaque étudiant d’apprendre et de s’améliorer. Au départ, le jiu-jitsu avait été développé pour les samurai, d’anciens guerriers qui n’avaient que peu d’armure, ou pas du tout, pour se défendre contre un ennemi plus puissant et mieux armé. Ainsi, le jiu-jitsu est le père des arts martiaux japonais, y compris le judo et l’aïkido, et il a influencé le karaté et d’autres styles d’arts martiaux. Il utilise des techniques de coups, de prises, de clés, de projections et d’esquives. Du point de vue mental, le jiu-jitsu enseigne la confiance en soi, accroît l’estime de soi-même, relâche le stress et augmente les facultés de concentration. Le jiu-jitsu emploie la physique et la science par les applications des moments et la connaissance de l’anatomie humaine pour venir à bout de tout agresseur en utilisant aussi peu d’effort et de force physique que possible. Le jiu-jitsu brésilien diffère du jiu-jitsu traditionnel par le fait qu’il a été développé dans un environnement et des lieux différents en réponse à des besoins différents. Cela a occasionné le développement de techniques supplémentaires qui correspondent mieux au combat sur le terrain et certaines nécessités appropriées pour affronter la violence dans la vie moderne. Aujourd’hui, le jiu-jitsu brésilien est réputé pour son excellent combat sur le terrain, le haut niveau de ses compétitions et de ses athlètes, ainsi que pour ses tactiques de pensée et de manœuvres. Sept fois champion du monde, Fabio Duca Gurgel do Amaral a commencé à pratiquer le jiu-jitsu à l’âge de 13 ans et a reçu sa ceinture noire à l’âge de 19 ans. Avec son maître, Romero Jacaré, il a fondé l’équipe Alliance Team, deux fois champion du monde, avec 40 académies à travers le monde – du Venezuela jusqu’à New York, et de la Finlande à l’Allemagne. Gurgel continue à enseigner dans sa propre académie à São Paulo et organise des séminaires à travers le monde. Il est le président de la Ligue Professionnelle du Jiu-jitsu. L'édition en anglais pour l'Amérique du Nord a été publiée en septembre 2008. L'édition tchèque a été publiée en septembre 2009. 176 pages ; 16.5 x 24 cm.
Jiu-Jitsu brésilien – Techniques de base et avancées Par Fabio Duca Gurgel do Amaral Le jiu-jitsu, qui signifie littéralement « l’art doux », est une forme populaire d’autodéfense qui ne repose pas nécessairement sur la force physique et sur la puissance. Fabio Gurgel, sept fois champion du monde, nous présente une série complète en deux volumes (Techniques de base et Techniques avancées) qui introduit la simplicité dans les mouvements complexes de cet art martial, lorsqu’il nous révèle étape par étape les secrets du Jiu-jitsu. Ces livres sont pleinement illustrés et simplifient les expressions techniques de la forme artistique, de façon à permettre à chaque étudiant d’apprendre et de s’améliorer. Au départ, le jiu-jitsu avait été développé pour les samurais, d’anciens guerriers qui n’avaient que peu d’armure, ou pas du tout, pour se défendre contre un ennemi plus puissant et mieux armé. Ainsi, le jiu-jitsu est le père des arts martiaux japonais, y compris le judo et l’aïkido, et il a influencé le karaté et d’autres styles d’arts martiaux. Il utilise des techniques de coups, de prises, de clés, de projections et d’esquives. Du point de vue mental, le jiu-jitsu enseigne la confiance en soi, accroît l’estime de soi-même, relâche le stress et augmente les facultés de concentration. Le jiu-jitsu emploie la physique et la science par les applications des moments et la connaissance de l’anatomie humaine pour venir à bout de tout agresseur en utilisant aussi peu d’effort et de force physique que possible. Le jiu-jitsu brésilien diffère du jiu-jitsu traditionnel par le fait qu’il a été développé dans un environnement et des lieux différents en réponse à des besoins différents. Cela a occasionné le développement de techniques supplémentaires qui correspondent mieux au combat sur le terrain et certaines nécessités appropriées pour affronter la violence dans la vie moderne. Aujourd’hui, le jiu-jitsu brésilien est réputé pour son excellent combat sur le terrain, le haut niveau de ses compétitions et de ses athlètes, ainsi que pour ses tactiques de pensée et de manœuvres. Sept fois champion du monde, Fabio Duca Gurgel do Amaral a commencé à pratiquer le jiu-jitsu à l’âge de 13 ans et a reçu sa ceinture noire à l’âge de 19 ans. Avec son maître, Romero Jacaré, il a fondé l’équipe Alliance Team, deux fois champion du monde, avec 40 académies à travers le monde – du Venezuela jusqu’à New York, et de la Finlande à l’Allemagne. Gurgel continue à enseigner dans sa propre académie à São Paulo et organise des séminaires à travers le monde. Il est le président de la Ligue Professionnelle du Jiu-jitsu. L'édition en anglais pour l'Amérique du Nord a été publiée en 2007. L'édition tchèque devrait paraître en 2010. 176 pages ; 16.5 x 24 cm.
LeLe has a small lantern, always twinkles with light. Wherever Lele is, the night is decorated beautifully. One day, LeLe’s little lantern is broken, and all the animals gather together to think of solutions. Will the candles work? Or should we collect the moonlight? However, all of these measures seem useless to fix LeLe’s little lantern. What should LeLe do? Lele’s Little Lantern is about a warm journey of searching and finding oneself. Human beings often rely on pursuing external things to prove self-worth without realizing oneself is a unique existence. The illustrator, Yan Ming-Yi, implies pursuit of glowing as the pursuit of oneself. Through the illustrations that are full of warmth, vividly captures the journey of repairing the lantern, which at the same time is also a journey of healing oneself.
Giraffe is the first one noticing the moon looks differently today, wondering as if he has seen the moon somewhere before. He keeps thinking and thinking but can never recalls. No, no, his head is becoming hot the more he thinks. What does the moon today look like? Everyone is offering Giraffe with special remedies to ease the fever. Will Giraffe ever find the answer? Trival things trouble us and usually make our heads spin. Fortunately, there’s always someone out there giving us a hand. Everyone tries a little bit to help, so the head stop spinning. What troubles us is no longer a trouble.
In 1915, Jukichi and Ken Harada purchased a house on Lemon Street in Riverside, California. Close to their restaurant, church, and children's school, the house should have been a safe and healthy family home. Before the purchase, white neighbors objected because of the Haradas' Japanese ancestry, and the California Alien Land Law denied them real-estate ownership because they were not citizens. To bypass the law Mr. Harada bought the house in the names of his three youngest children, who were American-born citizens. Neighbors protested again, and the first Japanese American court test of the California Alien Land Law of 1913-The People of California v. Jukichi Harada-was the result. Bringing this little-known story to light, The House on Lemon Street details the Haradas' decision to fight for the American dream. Chronicling their experiences from their immigration to the United States through their legal battle over their home, their incarceration during World War II, and their lives after the war, this book tells the story of the family's participation in the struggle for human and civil rights, social justice, property and legal rights, and fair treatment of immigrants in the United States. The Harada family's quest for acceptance illuminates the deep underpinnings of anti-Asian animus, which set the stage for Executive Order 9066, and recognizes fundamental elements of our nation's anti-immigrant history that continue to shape the American story. It will be worthwhile for anyone interested in the Japanese American experience in the twentieth century, immigration history, public history, and law. This publication was made possible with the support of Naomi, Kathleen, Ken, and Paul Harada, who donated funds in memory of their father, Harold Shigetaka Harada, honoring his quest for justice and civil rights. Additional support for this publication was also provided, in part, by UCLA's Aratani Endowed Chair as well as Wallace T. Kido, Joel B. Klein, Elizabeth A. Uno, and Rosalind K. Uno.
